C’est la rentrée, et qui dit rentrée dit changement et donc nouvelles habitudes. Mais aussi, c’est l’occasion de te faire mon bilan annuel. Au programme : l’avenir de L’Aetherium, le changement de logo et l’avancement de mes projets d’écritures.
Me revoici pour un nouvel article, après quelques mois de bien peu d’assiduité, mais à laquelle, lecteur, tu t’es certainement habitué, puisque ça ne m’empêche pas de te proposer de nouveaux articles chaque mois ! Il faut dire que j’ai toujours une bonne excuse : quand ce n’est pas le travail, c’est l’arrivée d’un enfant, puisqu’il y a six mois, j’ai eu le bonheur d’être Papa une seconde fois. Ajoute à cela à nouveau le travail, et forcément des choix s’imposent. Mais je ne t’oublie pas, et je remercie Emmanuel, Samuel et Amaury de t’avoir donné de quoi lire sur le blog au début de l’été. Alors quoi de neuf ? On va reprendre les choses dans l’ordre de mon précédent bilan.
Premier livre
Malheureusement, pas d’éditeur en vue pour mon premier livre. Pour rappel, il s’agit d’un ouvrage professionnel sur la communication. S’il y a bien eu quelques marques d’intérêt, rien de concluant. Mon objectif avec ce premier ouvrage était d’abord de me tester et savoir si j’étais capable d’emmener un projet d’écriture jusqu’au bout de sa rédaction. Il n’y a donc pas pour autant de déception et le livre sortira très probablement cet hiver en auto-édition, au format numérique.
Second livre, mais pas que
L’année dernière, j’annonçais la reprise de la rédaction d’un autre projet d’écriture, avec pour objectif de le terminer avant l’hiver. Je n’y suis pas parvenu. Je n’ai pas d’excuse : j’ai préféré prioriser d’autres choses, parfois c’était pertinent, parfois non. Je dois dire aussi que je sèche un peu, tandis que je suis à un quart de mon histoire : en cours d’écriture, je me suis rendu compte que ça ne parlerait en fait qu’à une toute petite proportion de gens. Il faut que je rende l’ensemble davantage haletant, et c’est en partie là-dessus que je bloque. Mais je n’abandonne pas et je suis bien décidé à emmener ce projet à son terme.
En revanche, pour mieux me faire la main, j’ai commencé à écrire des nouvelles. Différents styles, différents genres, un début et une fin. Les premières sont lisibles sur mon blog personnel et j’en ai trois autres en stock sur le dictaphone de mon smartphone. Ces nouvelles sont un moyen de m’entraîner tout en délirant un peu, elles sont des temps de respiration au fil de mes différents projets (écriture ou non). À terme, sans que ce soit une priorité, l’idée serait de les publier quand il y en aura assez.
Bientôt (et enfin) des diplômes ?
En parallèle, je prépare le passage d’un titre professionnel (enfin un !) et d’un certificat. Mais de quoi ? Pour le premier, il s’agit d’une VAE de Formateur Professionnel d’Adulte. Voici deux ans que je travaille pour l’Afpa une partie de ma semaine où j’ai été amené à explorer de nombreux aspects du métier de formateur. Avec quelques collègues on s’est donc motivés à passer ensemble notre VAE. Si je l’obtiens, ça me fera enfin un vrai diplôme depuis mon BEP (car c’est tout ce que j’ai : je me suis fait sur le tas). Et puisque cette année est placée sous le signe de l’écriture, j’ai donc profité de l’été pour rédiger mon Dossier Professionnel nécessaire à l’obtention de mon titre, soit une cinquantaine de pages. En plus du reste.
Le certificat, quant à lui, est relatif à la formation en théologie que j’ai suivie un jour par mois durant deux ans. Dans les mois qui viennent, j’aurai alors à passer mon oral pour échanger autour de mon mémoire (presque terminé) d’une dizaine de pages. Une fois cette étape passée, je passerai à la suivante. Quand je te dis que cette année est placée sous le signe de l’écriture, ce n’est pas une blague. J’écris moins sur le blog parce que j’écris plus que je n’ai jamais écrit, mais en dehors de celui-ci.
L’Aetherium 2018-2019
Tout d’abord, avec L’Aetherium je boucle une très bonne année 2017-2018. J’en remercie le Ciel, le résultat financier de cette cinquième année vient confirmer le résultat de l’année précédente. Cette année s’est d’ailleurs illustrée de très chouettes collaborations, parmi lesquelles je compte Terres de Provence Immobilier, Trictrac Event ou encore l’Afac-Agroforesterie, pour ne citer que celles-ci.
Dans un tout autre registre, passer du portage salarial à l’entreprise individuelle voilà huit mois m’a apporté de nombreux avantages, ce qui m’a fait réaliser un meilleur bénéfice. Ce bénéfice m’a permis d’investir dans un nouvel ordinateur et un nouveau bureau (visible sur la nouvelle bannière du blog). Le PC portable et le PC fixe sont désormais remplacés par un unique portable, doté des performances qui vont bien. Mais passer sur un PC portable de façon permanente n’était pas compatible avec mon ancien bureau, qui commençait d’ailleurs à mal vieillir. Donc plus de puissance pour plus d’espace.
(C’était sans compter sur mes chats qui squattent désormais le bureau à trois, au lieu d’un seul. Plus d’espace, plus de chats.)
Et puisque ma chère et tendre travaille à s’occuper de nos enfants, cela veut aussi dire qu’il faut ramener un peu plus de sous pour faire bouillir la marmite. Le changement de logo, dont je parle juste plus loin, est aussi l’occasion de marquer un tournant dans mon développement. Concrètement, ça va aussi se traduire par un allongement de ma durée de travail hebdomadaire, plus de présence dans les réseaux et (un peu) plus d’assiduité pour m’occuper du blog.
Changement de logo
En cinq ans, on change, on évolue, tant personnellement que professionnellement. J’éprouvais donc depuis quelque temps le besoin de changer de logo. En effet, le milan noir qui était au cœur de mon logo me suivait depuis 2013. Le résultat est donc ce nouveau logo, plus en phase avec mon « moi d’aujourd’hui ». Et comme évoqué précédemment, c’est aussi une façon de marquer ma volonté de développer davantage L’Aetherium. Ce nouveau logo a aussi engendré quelques menues modifications de couleurs qui ont légèrement égayé le site web.
Mais pourquoi un ours polaire ? À mes yeux, l’ours symbolise la force, l’âge, la maturité. Tandis qu’un oiseau de proie est plus vif, un peu plus fou à mes yeux, avec un ours je souhaite transmettre une image rassurante et posée. Mais l’ours brun à quelque chose du porc-épic : il n’est pas de ceux avec qui on se sent à l’aise et se laisse difficilement approcher. Je n’avais donc nullement envie d’être associé au travers de l’ours brun. C’est pour cette raison que j’ai fait le choix de l’ours polaire : merci Coca et Greenpeace pour avoir créent une image positive de l’ours polaire dans l’inconscient collectif. Et puis quoi de mieux qu’une espèce en voie de disparition pour représenter l’électron libre que je suis ?
Je prie pour que ça dure
Cette année 2018 est aussi dense en termes de travail qu’elle l’est en termes de projets personnels. Après plusieurs années à m’engager à droite à gauche, dans divers mouvements et associations, c’est pleinement pour ces projets que je travaille en y consacrant mon temps. Tu peux toutefois continuer à m’écouter sur RCF Côtes d’Armor, parce que la radio c’est cool. Je suis également toujours membre de Kreizenn dafar et de la CPME, parce que c’est important de soutenir l’entrepreunariat, même si je n’y suis pas aussi présent que je l’aimerais. Bref, ce n’est pas demain la veille que je vais avoir le temps de terminer de peindre mes space marines. À raison de cinq figurines par an, j’ai de la marge… Comme à mon habitude pour ce type d’article, je finirai sur une citation :
« Le travail prépare une vieillesse heureuse ; dans tous les cas elle sera riche de souvenirs. » – Jean-Louis Moré